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Si vous cherchez en ligne les erreurs à faire avec un processus de qualité/assurance, vous aurez des réponses du genre (selon ChatGPT) :

  1. Définir vos normes et objectifs de qualité
  2. Constituer une équipe d’assurance qualité
  3. Créer des processus et des procédures d’assurance qualité
  4. Formation et développement des compétences
  5. Mise en place d’outils et de technologies
  6. Définir les critères de test
  7. Surveillance continue
  8. Documentation

Par contre, c’est encore plus facile que ça faire des erreurs, car souvent les processus de ce genre ne sont pas fait par les spécialistes, mais par des dirigeants qui ne sont pas dans les plateformes. Ces processus sont parfois mis en place suite à une erreur ou parce que l’entreprise y croit. Dans tous les cas, je n’essaie pas de dire qu’il y a de la malveillance.

Donc, où veux-tu en venir Thoma?

Les processus sont trop longs, trop complexes et ralentissent le travail du spécialiste

“Ah, mais c’est pas grave, il n’a qu’à prendre plus de temps pour la mise en ligne de campagnes”.

La réalité est que si le processus de qualité/assurance est trop long, il sera non-fait. Imaginez devoir cocher 40 cases dans un logiciel après chaque campagne et que vous mettez en ligne 2-3 campagnes par jour. Vous allez en avoir plein le casque de ce processus.

“Oui, mais il faut tout valider pour s’assurer que c’est bien fait.” La réalité est rarement le cas. Par exemple, oubliez de “décocher un placement sur Facebook” a moins d’impact que d’avoir un budget quotidien au lieu d’un budget de vie.

C’est pourquoi le processus devrait seulement valider :

  • Les tâches cruciales pour la campagne / pour le client
  • Les tâches qui génèrent le plus d’erreur
  • Les tâches qui génèrent les erreurs les plus coûteuses

Donc, il faut réduire le nombre de tâches à faire pour s’assurer que le processus sera suivi. Facile, mais trop souvent regardé rapidement.